La guerre économique mondiale a atteint son apogée depuis l’avènement de Donald Trump au pouvoir, et on se retrouve dans un monde où toutes les nations sont volontairement ou involontairement impliquées dans une guerre économique mondiale.
Cette guerre que se mènent le dollar américain, l’euro de l’Union européenne, le yuan chinois, le yen japonais, le rouble russe, la roupie indienne et le reste du monde.
Dans cette même dynamique, on se retrouve face à des négociations musclées entre les États-Unis, l’Union européenne, les pays sud-asiatiques, les pays du Moyen-Orient au sujet du traité transatlantique, toutes ces nations convoitent les richesses africaines…
Suite à cela, le monde ressemble désormais à une arène, à un ring de boxe où la guerre économique est omniprésente tant et si bien que l’expression est devenue victime de son propre succès.
C’est d’ailleurs pourquoi on dira sans risque de se tromper que le troisième conflit mondial, sera sans effusion de sang et aura les contours d’une guerre économique aux vertus positives.
Non seulement cette guerre du soft power ou « guerre douce » se substitue de plus en plus à une guerre entre des armées, mais elle est l’épicentre d’un grand tremblement de terre où chaque peuple doit s’armer pour l’affronter de façon collective ou en solo.
C’est pourquoi certains peuples, pour se neutraliser mutuellement, signent des accords commerciaux.
C’est dans cette logique qu’on comprend que, dans un monde où les opportunités économiques évoluent à grande vitesse, une nouvelle catégorie d’acteurs financiers émerge : les intermédiaires financiers. Ils ne sont ni banquiers ni investisseurs, et pourtant, ils gagnent leur vie en connectant l’argent aux bonnes opportunités.
Ce rôle stratégique, souvent méconnu, est au cœur de la transformation de nombreuses économies — notamment en Occident.
Et la bonne nouvelle, c’est que vous pouvez en faire partie, sans diplôme de finance, sans capital initial et sans aucun besoin d’autorisation bancaire, vous pouvez participer à cette guerre économique qui se met sur pied à travers les nations.
C’est pourquoi on vous dira bienvenue dans l’univers de l’intermédiation financière, une activité rentable, flexible, hautement valorisante et stratégique, surtout pour les membres de la diaspora et ceux restés sur place, car ils sont malgré eux au centre d’un chamboulement des événements économiques mondiaux.
Qu’est-ce que l’intermédiation financière ?
L’intermédiation financière, c’est l’art de mettre en relation des porteurs de projets (entrepreneurs, promoteurs, collectivités…) avec des sources de financement (investisseurs, banques, institutions, etc.).
Comme vous l’entendez-vous êtes l’intermédiaire entre ceux qui ont de l’argent et ceux qui ont des idées.
Cela peut concerner :
• Des projets immobiliers en Afrique,
• Des besoins de financement pour des PME locales,
• Des infrastructures agricoles ou industrielles,
• Ou même des levées de fonds pour des startups.
En tant qu’intermédiaire, vous touchez une commission à chaque fois que vous connectez une opportunité à une solution de financement. Vous n’avez pas besoin d’investir votre propre argent.
Votre valeur, connaitre les différents types d’instruments financiers existant sur le marché international et leur mode de fonctionnement.
Ensuite, vous développerez votre capacité à détecter des projets solides, après avoir le contact des institutions financières fiables que vous mettrez ensemble.
Pourquoi cette activité est idéale pour la diaspora ?
Si vous êtes Ivoirien, Sénégalais, Togolais ou Africain francophone vivant en Occident avec un revenu resonable, vous avez un avantage énorme. Pourquoi ?
Parce que :
• Vous avez accès à un réseau financier plus large (banques, courtiers, investisseurs privés…),
• Vous comprenez à la fois les codes de l’environnement occidental et les réalités du terrain africain,
• Vous êtes dans une posture idéale pour valoriser votre double culture économique.
De nombreux projets africains ne trouvent pas de financement non pas parce qu’ils sont mauvais, mais parce qu’ils ne savent pas comment parler ou croiser les financeurs. Et de l’autre côté, beaucoup de gens cherchent à investir en Afrique, mais ne savent pas à qui faire confiance et comment s’y prendre. C’est là que vous intervenez.
Comment lancer son activité en 90 jours ?
Si vous êtes bien guidé. L’intermédiation n’est pas une affaire de chance, mais de méthode. Voici les grandes étapes que vous devez suivre pour structurer votre activité en 90 jours :
1. Compréhension et positionnement
Quels sont les acteurs, les circuits financiers, les types d’instruments financiers, les sources, l’usage et les règles du jeu ?
2. Constituer votre offre de service : vous positionner comme intermédiaire crédible, avec une spécialisation claire (immobilier, énergie, PME, agriculture, élevage, startup, institution étatique…).
3. Bâtir votre réseau stratégique : banques, institutions financières, family offices, business angels promoteurs, etc.
4. Savoir analyser et présenter un projet : créer des dossiers bancables, des pitch decks, des plans financiers compréhensibles (ici nous vous recommandons fortement de louer les services d’un spécialiste en gestion de projet).
5. Négocier vos commissions et sécuriser vos revenus : contrats d’intermédiation, lettres d’intention, rétrocommissions, etc.
6. Sécuriser sa commission et louer un compte bancaire
Vous créez votre société et compte bancaire offshore dans un pays avec des fiscalités abordables afin d’avoir un accès direct sur les marchés financiers internationaux et, au besoin, de recevoir vos commissions ou de louer ces comptes à vos clients pour domicilier leurs fonds le temps de les utiliser.
Combien pouvez-vous gagner ?
Les commissions dans l’intermédiation varient généralement entre 1 % et 5 % des montants levés. Sur un dossier de 100 000 €, vous pouvez donc toucher 1 000 à 5 000 €, parfois plus si vous apportez une vraie valeur ajoutée stratégique.
Avec 3 à 5 dossiers bien négociés par an, vous pouvez générer l’équivalent d’un bon revenu complémentaire… voire un vrai revenu principal si vous professionnalisez l’activité.
Une fois votre cadre posé, vous pouvez très vite réaliser vos premières mises en relation rémunératrices. Avec de la rigueur, vous professionnalisez cette activité et en faire un levier de liberté financière, voire une entreprise à part entière.
Un rôle clé dans le financement de l’Afrique
L’Afrique regorge de talents, d’idées et de besoins en financement.
Pourtant, des milliards dorment ou fuient le continent, faute de structures efficaces pour canaliser l’épargne ou les capitaux.
En devenant intermédiaire financier, vous n’êtes pas seulement un acteur économique. Vous devenez un catalyseur de développement, un facilitateur de croissance, un banquier sans banque au service d’une vision continentale.
Avec un bon accompagnement, une posture de conseil et un positionnement clair, vous pouvez devenir un acteur de la finance sans être banquier. Juste en jouant votre rôle d’intermédiaire financier éclairé entre deux mondes qui cherchent désespérément à se comprendre.
Vous comprenez que les affrontements et les conflits sont devenus périphériques et qu’ils glissent des terrains militaires vers le terrain économique et commercial. Cette rivalité entre puissances se concrétise plus autour des ressources, financières, ou chacun lutte pour attirer des parts de marché vers son économie, et nous saurons être à l’écart.
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