“Eppur si muove” : et pourtant, elle tourne !
Cette expression est de Galilée qui le 08 janvier 1642 trouve la mort du côté de Florence, en Italie condamné par l’église pour avoir dit que la terre tournait autour du soleil. Avant cela, le savant devait abjurer, renoncer à ses hypothèses, en lisant un texte dans lequel il reconnaît ses erreurs. Cela, quand vous savez que vous avez raison, c’est un véritable supplice.
Il faudra attendre 1992 pour que l’Église, par la voix du pape Jean Paul II, reconnaisse ses torts à l’égard de Galilée.
Cette dernière mise au point doit être faite, car il existe en 2020 des personnes qui ne tolèrent pas qu’on dise qu’il peut y avoir la moindre incitation à la violence dans les religions la Bible.
Je préfère le dire ici, car à la fin de cet article la réacosphère, c’est-à-dire l’ensemble des internautes réactionnaires vont me vouer au bûcher comme Galilée.
ET POURTANT, ON NOUS DIT QUE C’EST DIEU QUI NOUS A TOUS CREE.
Dans la Bible, l’un des livres fondateurs de la civilisation judéo-chrétienne, Josué, successeur de Moïse et conquérant de la Terre promise, fait preuve d’une dureté lors de la prise de Jéricho : « Le peuple monta vers la ville, chacun devant soi, et ils s’emparèrent de la ville. Puis ils vouèrent à l’anathème (Condamnation, réprobation énergique, blâme sévère à l’adresse d’une personne, d’un acte, d’une opinion, malédictionetc.) tout ce qui était dans la ville, depuis l’homme jusqu ’à la femme, depuis le jeune jusqu ’au vieux, et jusqu ’au bœuf, au mouton, à l’âne, passant tout au fil de l’épée. (…) Alors on brûla tout par le feu, la ville et tout ce qui avait en elle. »
Josué et ses troupes se montrent aussi impitoyables à l’égard des habitants de Aï : « Ils les battirent au point de ne leur laisser ni un survivant, ni un réchappé. » Quand ils eurent achevé de « tuer tous les habitants de Aï, dans la campagne, dans le désert où ceux-ci les avaient poursuivis, et qu’eux tous, jusqu’à extinction, furent retombés sous le fil de l’épée, alors [ils] revinrent vers Aï et la frappèrent au fil de l’épée. Le total de ceux qui tombèrent en ce jour-là, tant hommes que femmes, fut de douze mille, tous gens de Aï. » Puis ils s’emparent « de tout le pays de Qadès-Barnêa jusqu’à Gaza, de Goshén jusqu’à Gabaon ».
À chaque fois, c’est l’abattoir, l’étripage, l’hécatombe, car il s’agit de faire place nette pour les nouveaux arrivants : « Toutes les dépouilles de ces villes et le bétail [ils] les prirent comme butin pour eux ; mais ils battirent tous les hommes au fil de l’épée jusqu’à les exterminer, ils ne laissèrent aucun être animé. »
Une lecture rapide du livre de Josué achoppe sur les récits de guerre aux chapitres 6 à 12.
De cette narration de la conquête de Canaan ressortent souvent deux impressions inquiétantes, d’abord celle d’une vague de destruction de villes rasées et de terres désolées, puis celle d’habitants vaincus, massacrés dans un véritable bain de sang.
Ces impressions semblent confirmées par le narrateur des récits de bataille. Il martèle son message : « Josué battit tout le pays (…) il ne laissa aucun survivant. Il frappa d’anathème tout ce qui respirait », et le clou est d’autant plus enfoncé par l’affirmation « comme l’avait ordonné le Seigneur, le Dieu d’Israël » (Jos 10:40 ).
Le Pentateuque dépeint en termes durs la manière dont Dieu va, ou Israël doit, traiter les nations en Canaan. ELLES SERONT EFFACÉES (Ex 23:23), chassées (Ex 23:28-31; Dt 7:1), expulsées (Dt 7:1), repoussées (Dt 9:4), retranchées (Dt 12:29), détruites (Dt 12:29), OU DÉPOSSÉDÉES (Dt 9:5, 12:29).
Le verbe le plus dur est heherîm d’où est dérivé le nom herem.
Deux lois deutéronomiques prescrivent cette sanction pour les sept nations de Canaan : « Tu les voueras à l’interdit » ou, traduit autrement, « tu les frapperas d’anathème » (Dt 7:2, 20:17). C’est d’abord en Transjordanie, selon les récits de guerre en Deutéronome 2 et 3, et puis en Cisjordanie, d’après Josué 6 à 12, où l’anathème est appliqué.
Dans les récapitulatifs de batailles individuelles où le herem (Le herem ou cherem est la forme la plus sévère d’exclusion de la communauté juive.
Il s’agit d’une véritable mise au banc de la société juive, présentant de nombreuses similitudes avec l’anathème) a été appliqué, se trouvent également les expressions dures comme « ils les passèrent au fil de l’épée », ou « il ne resta rien de ce qui respirait », rendues parfois plus poignantes par le rajout « hommes, femmes et enfants » (Dt 2:34, 3:6; Jos 6:21, 10:40, 11:11, 14, ).
Comment donc ne pas tirer la conclusion qu’Israël était bénéficiaire d’un pays donné en héritage découlant de lait et de miel au prix du sang coulé des populations vaincues ?
QUEL MEILLEUR MOT CHOISIR POUR QUALIFIER CETTE EXPRESSION SI CE N’EST LE MOT GÉNOCIDE ?
Et ne peut-on pas sérieusement se demander : « Si le dieu d’Israël (en même temps le Dieu des Occidentaux) est vraiment… Un dieu sanguinaire qui appelle son peuple au combat et qui ordonne des massacres ;
certains diront que ces textes sont dans l’ancien Testament et non dans le Nouveau Testament, il est important de savoir que le but ici n’est pas de fustiger les Testaments nous voulons par ce texte sortir l’héritage génocidaire de ce peuple qui hérite de la Bible.
Et même si c’était l’Ancien testament, comment confesser que ce Dieu est le même que le Dieu du Nouveau Testament ?
Le Père de Jésus-Christ ? » Croire en l’extermination des Cananéens sur l’ordre de Dieu pose un problème de taille d’ordre éthique, Moral, théologique et de crédibilité.
L’ASPECT MATÉRIEL ET LA DESTRUCTION CULTURELLE DE LA CONQUÊTE
À propos de la campagne militaire au nord, il est pprécisé :« Mais Israël ne brûla aucune des villes à l’exception seulement de Hatsor. » (11:13)
Dans le Pentateuque, les passages relatifs à l’installation préconisent que les Israélites posséderaient les villes et les maisons qu’ils n’avaient pas bâties et les terres qu’ils n’avaient pas cultivées (Dt 6:10-11, 19:1-2; cf. Nb 35:1-5). Quel autre mot employer si ce n’est Voleur ?
EN REVANCHE, LES ISRAÉLITES DEVAIENT DÉTRUIRE LES LIEUX DE CULTE. LA LOI D’ANATHÈME DE DEUTÉRONOME 7 STIPULE: « VOUS RENVERSEREZ LEURS AUTELS, VOUS BRISEREZ LEURS STÈLES, VOUS ABATTREZ LEURS POTEAUX D’ACHÉRA ET VOUS BRÛLEREZ AU FEU LEURS STATUES. » (DT 7:5; EX 23:10-30; NB 33:51-56; DT 6:14-19, 7:22-24, 12:2-3, 29-31)
Les récits sont clairs, dès l’arrivée du peuple d’Israël en Canaan ne s’arrête pas à la destruction que de quelques villes (…) il lui suffisait de détruire les rites païens des Cananéens et les accessoires de leur culte (…), on ne doit pas retrouver de trace physique de la conquête, hors du domaine religieux. »
QUAND LA BIBLE DEVIENT LE MANUEL QUI INSPIRE L’EXTERMINATION LENTE DES PEUPLES.
La longue durée de la prise de possession du pays donné en héritage est signalée dans le Pentateuque et dans les récits en Josué et en Juges. Par exemple : « Je ne les chasserai pas en une seule année loin de toi, de peur que le pays ne soit désolé et que les animaux sauvages ne se multiplient contre toi.
Je les chasserai peu à peu loin de ta face, jusqu’à ce que tu puisses hériter du pays. » (Ex 23:29-30; Jos 23:12-13; Jg 2:21-23; Ex 34:24; Dt 7:22, 12:20) Ce n’est qu’à partir du règne de David, et finalement à l’époque de Salomon, que l’étendue territoriale promise, « depuis le fleuve d’Egypte jusqu’au grand fleuve, à savoir, l’Euphrate » (Gn 15:18), a été soumise à Israël (1 R 4:21-25; cf. Dt 12:20, 19:8).
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Nous pouvons vérifier cette technique aujourd’hui dans nos pays, ou pour chasser les gens de leurs terres, on utilise des méthodes douces et très subtiles entre autres :
L’homosexualité, les guerres bactériologiques, les guerres intertribales, la guerre économique, l’alimentation de la haine intertribale, le déversement des denrées périmés et toxique sur nos marchés, l’usage des médias pour créer des divisions le métissage.
Cette petite illustration montrera comment on passe par le métissage pour exterminer un peuple.
Cas de la famille Noah, le père Zacharie Noah, 100% noir fait des enfants avec Marie-claire Perrier, 100% Blanche, le Fils Yanick Noa, Métisse 50% blanc et 50% noir, Yannick Noah à son tour Imitant son père, fait des enfants avec Cecilia Rodhe, 100% Blanche et leur vient au monde le fils Joakim Noah, quarteron(quart d’un cent) soit 75% blanc et 25% noir, (le sang noir est déjà en train de disparaitre.) en 2016 Joakim, imitant son père et son grand père fait une enfant avec une Femme Blanche (brésilienne) l’enfant est blanche car d’une mère Blanche 100% et d’un père Quarteront à 75% blanc et c’est fini on efface la peau Noir et le plus important c’est que justement cet enfant a droit à un héritage en Afrique car elle a une descendance Noire bien que la peau est blanche.
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STRATÉGIE D’ENCERCLEMENT ET LE MASSACRE EN DOUCEUR
Il ne faudra pas conclure d’alliances avec eux (Ex 23:32; Dt 7:2), ni se marier avec eux (Dt 7:3), ni imiter leurs mœurs ou leur culte (Dt 12:2-4, 29-31), ni se rallier à d’autres dieux, d’entre les dieux des peuples qui sont autour de vous (Dt 6:14). On comprend pourquoi en Afrique les Européens sont toujours dans le quartier dit des blancs.
Au fond, ces lois stipulent, noir sur blanc, que les habitants autochtones, toujours culturellement intacts, vont se trouver au milieu d’Israël dans la terre promise.
Une façon de vous laisser mourir de votre propre mort.
- D’après des sources anciennes et médiévales rabbiniques, Josué a rédigé une lettre laissant le choix aux sept nations, soit de s’enfuir, soit de faire la paix avec Israël, soit de lui faire la guerre.
La possibilité de faire la paix avec Israël existait à condition de s’engager à respecter les sept lois morales des Noahides (d’établir des tribunaux ; de l’interdiction de blasphémer ; de l’interdiction d’idolâtrie ; de l’interdiction d’unions illicites ; de l’interdiction d’assassiner ; de l’interdiction de voler ; de l’interdiction de manger la chair arrachée à un animal vivant.)
En effet, puisque l’objet de la loi du herem était de protéger les Israélites des pratiques religieuses païennes (Dt 20:18), si les Cananéens acceptaient de garder ces lois, il ne serait plus nécessaire de les exterminer (ces mêmes propositions ont été faites en Afrique dans certaines régions par les colons vous devenez musulmans ou chrétiens, on vous laisse la vie sauve ceci chez-vous sur votre territoire.)
QUAND DIEU DONNE L’AFRIQUE EN CADEAU AUX GENS QUI ONT ÉTÉ CHASSE DE LEURS TERRES
Il était également permis d’offrir aux habitants de Canaan la liberté d’émigrer.
Les Guirgasiens figurent dans certaines listes de sept nations ( Dt 7:1) qui ont quitté Canaan par peur des Israélites pour s’enfuir en Afrique du Nord.
Certains Historiens disent que tous les Cananéens ont volontairement donné le pays aux Israélites et en récompense Dieu leur a donné l’Afrique. Comme si quelqu’un de normal peut accepter tout laisser son pays pour aller vers une terre étrangère.
QUAND UN PRÊTRE DONNE SA FILLE VIERGE AUX AGRESSEURS DANS LE BUT DE PROTÉGER UN HOMME ET SA DJOUMBA (MAÎTRESSE)
Dans un épisode atroce de la Bible (Juges XIX, 22), ceux d’Éphraïm assiègent la maison d’un prêtre qui a donné l’hospitalité à un jeune Lévite et à sa Djomba (concubine). Les assiégeants trouvent le jeune Lévite si beau qu’ils le veulent pour s’amuser un peu à le violer.
Le prêtre, au nom de l’hospitalité, refuse de livrer Lévite, mais il a alors une délicate idée : « Voici ma fille qui est vierge et lui a une concubine ! Je vais les faire sortir, faites leur violence et traitez-les comme il semblera bon à vos yeux !» (Juges XIX, 22-24).
Le Lévite, pousse alors sa concubine dehors et le texte saint donne la suite : « Ils la connurent et abusèrent d’elle toute la nuit, jusqu’au matin. Ils la lâchèrent au lever de l’aurore ». Elle vient mourir à la porte de la maison. (Et on veut que tu fasses confiance à quelqu’un comme ça qui est prêt à livrer sa propre fille vierge aux envahisseurs il ose même le dire à haute voix.)
QUAND JESUS HIMSELF APPEL SES FRÈRES AU MEUTRE IL FAUT S’EN INQUIÉTER.
J’étais sûr, et je croyais dur comme fer, qu’il n’y avait aucun appel au meurtre dans le Nouveau Testament. Car Jésus a toujours été présenté comme une sorte de hippie sympa en gros l’Homme le plus inoffensif sur terre une version antique du raciste Mohandas Gandhi.
Et il est vrai que le Nouveau Testament est de loin moins violent que l’ancien. Mais, à ma grande surprise, j’ai découvert deux épisodes des Évangiles où le Christ convoquait une violence meurtrière.
“Jésus himself en personne a menacé ses ennemis d’égorgement et il a aussi appelé de ses vœux un massacre collectif.”
POUR CERTAINS, JE SUIS UN BLASPHÉMATEUR, MAIS LISONS ENSEMBLE
Vous me direz ou est-ce que j’ai trouvé ça ?
La menace d’égorgement, c’est dans Luc (chapitre 19, verset 20 à 27).
Jésus parlait de l’argent au verset 20 ont peut lire « Un autre vint, et dit: seigneur, voici ta mine, que j’ai gardée dans un linge; 21car j’avais peur de toi, parce que tu es un homme sévère ; tu prends ce que tu n’as pas déposé, et tu moissonnes ce que tu n’as pas semé. “Un message clair de l’agression des peuples qui s’autoproclament investit par une certaine divinité pour jouir impunément des biens et du travail des autres peuples.’
Verset 23, il poursuit « pourquoi donc n’as-tu pas mis mon argent dans une banque, afin qu’à mon retour, je le retirasse avec un intérêt ? » On dirait un vulgaire usurier preuve que même Jésus ne rigolais pas avec affaire NKAP(argent) qui est fou ? 😂🤣
VOICI LE PUNCH-LINE :
C’est quand jésus encore Himself dit ceci au verset 27 « Quant à mes ennemis, qui n’ont pas voulu que je règne sur eux : amenez-les ici et égorgez-les devant moi.»
Exactement, comme à notre époque, nous allons chez les gens leur demander la soumission s’ils refusent, on leur coupe la tête.
C’est dire que Jésus à utiliser toutes les armes possibles pour conquérir les peuples. Jésus a utilisé la parabole comme on parle sur les plateaux télé, pour réveiller l’audience.
La plupart du temps, il se servait du miracle. Mais, voilà, il peut aussi utiliser la peur de la mort. Ou comme on appel ça à Nkongsamba le Up-eye ou le Sissiah (menace).
OUI, JÉSUS CONDAMNE À MORT
Dans ce verset jésus là fait à la Vladimir Poutine « Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de Dieu, les envoyer auprès de lui, c’est mon affaire »,
Cette référence est plus terrible. C’est dans Mathieu (23-33 à 23-39). Il s’agit de l’épisode où Jésus s’en prend aux Pharisiens (les prêtres juifs gardiens du Temple) :
« Serpents ! Race de vipères ! Le feu du dépotoir (nb : le dépotoir, c’est la Géhenne, une vallée près de Jérusalem où les gens mouraient dans la torture et d’intenses souffrances, elle deviendra synonyme d’enfer), voilà le verdict !
Comment pourriez-vous y échapper ? C’est pourquoi, je vous envoie des prophètes, et des sages, des scribes, vous tuerez les uns, vous en mettrez d’autres en croix (…) ainsi retombera sur vous le sang d’Abel, le juste, et celui de Zacharie (…), mort par votre main. Croyez-en ma parole, tout cela retombera sur cette génération. »
Jésus les voue ou les condamne (verdict) à une mort horrible. Il bluffe, il n’a pas vraiment le rapport de forces, mais l’intention est là : qu’ils meurent dans ce monde terrestre (et non pas après le jugement dernier dans un grand feu éternel comme il on a eu l’habitude d’entendre).
Cet épisode démontre à souhait comment même ceux qui nous parlent du jugement dernier lorsqu’ils veulent envahir ou exterminer un peuple, ils le font sans tenir compte du fait qu’il aura un jugement après la vie.
Jésus traite ses contemporains de «race de vipères», manie l’imprécation, chasse les marchands du temple de Jérusalem
«Je suis venu jeter le feu sur la terre» (Luc 12,49); «Je suis venu non pas pour apporter la paix, mais l’épée» (Matthieu 10,34). Jésus traite ses contemporains de «race de vipères» (Matthieu 12, 34), manie l’imprécation («Malheur à toi…»), chasse les marchands du temple de Jérusalem et les invective: «Ma maison sera une maison de prière, mais vous, vous en avez fait une caverne de bandits» (Luc 19,46). Il rudoie son premier disciple, Pierre, qui fait de lui le «Messie» annoncé par les prophètes juifs, mais un Messie «triomphant», en prononçant le fameux «Vade retro Satanas (Derrière moi, Satan)» (Marc 8,33).
Jésus demande enfin à ses disciples de se munir d’une épée quand ils auront à témoigner de lui dans le monde.
CONCLUSION PARTIELLE
Pour les besoins d’écritures de cet article « 𝙑𝙊𝙄𝘾𝙄 𝙋𝙊𝙐𝙍𝙌𝙐𝙊𝙄 𝙇’𝙃𝙊𝙎𝙋𝙄𝙏𝘼𝙇𝙄𝙏𝙀 𝙀𝙎𝙏 𝙐𝙉𝙀 𝙋𝙍𝙀𝙐𝙑𝙀 𝘿𝙀 𝙁𝘼𝙄𝘽𝙇𝙀𝙎𝙎𝙀 PARTIE 2/4 », j’ai réalisé un test comparatif : Bible-Coran, quel niveau d’appel au meurtre ? J’en ai trouvé dans tous les livres.
Mais ma grande surprise, est celle chez Jésus.
Aux yeux de la réacosphère, je serais un “blasphémateur”. Les plus sympas prieront pour moi, certains auront des idées les plus négatives sur ma personne.
Malgré la lecture du texte écrit noir sur blanc certains ne comprendront pas le sens de l’article et continueront à dire « Jésus est amour, tu es un menteur » comme si nous étions dans un débat religieux.
– Si la forme d’hospitalité qui consiste à accepter de procréer avec les autres peuples par le billet du métissage, c’est pour finir comme la famille Noah, ça, c’est un signe de faiblesse.
Comprenez pourquoi les Arabes ayant compris cela refusent le mariage interracial, l’islam n’est pas un argument pour épouser une Femme arabe sauf si tu es hyper riche ou si tu dois apporter beaucoup à leur peuple.
La recommandation de détruire les cultures nous fait comprendre aisément pourquoi les Africains sont les peuples les plus acculturés de la planète car en plus de l’avoir détruit on a pris soin d’effacer les traces de sa culture et il devient un peuple sans racine et sachant l’importance d’avoir une racine on se retrouve avec des gens qui cherchent désespérément le salut chez les autres et pas chez lui.
Il suffit de dire que quelque chose est universelle pour que l’Africain par manque de repère culturel et de mémoire historique se sente immédiatement concerné. (Pendant que le japonais, l’Indien, le saoudien, le chinois, l’anglais ne se sentiront en rien concerné par un message soit disant universel car son universalité se retrouve dans la culture)
Cette destruction est allée si loin qu’on trouve des chefs traditionnels, Chrétiens ou musulmans et ça ne choque plus personne.
Pour se faire une bonne conscience, et trouver une excuse certaines personnes cherchent donc à atténuer la connotation brutale et génocidaire du herem par les justifications théologiques.
Cette violence, hélas, constitue aussi, l’une des caractéristiques de la civilisation occidentale. Selon de nombreux historiens, depuis l’antiquité, l’extermination d’un groupe d’adversaires (combattants ou non) et parfois de toute une communauté ethnique, dans les heures ou les jours qui suivent la bataille, est un des usages les plus habituels des collisions armées des Occidentaux.
Je suis conscient qu’à la lecture de ce texte certains s’efforceront à justifier les faits historiques en cherchent à conceptualiser les choses sauf que nous devons à un moment éviter de jouer avec les esprits des gens, car lorsqu’un événement heureux est cité dans la Bible ou le coran, on le démocratise dès qu’il est négatif, on cherche à le conceptualiser.
Je finirais cet article avec un verset Biblique qui en dit long sur la nature de ces personnes Néhémie 5:5 « Et pourtant, nous sommes bien de la même race que nos compatriotes : nos enfants ne sont pas différents des leurs ; et voici que nous en sommes réduits à vendre nos fils et nos filles comme esclaves : certaines de nos filles ont déjà été réduites à l’esclavage et nous sommes impuissants à les défendre, car déjà, nos champs et nos vignes appartiennent à d’autres. »
Dans la Bible comme le Coran, ce qui est dangereux n’est pas ce qui est écrit, mais par qui c’est lu, car pour certains, ces livres sont des manuels de guerres pour d’autres se sont des armes de soumission…
Ernest TCHAKOUTE (Coach Ben)
Douala le 13/06/2020 – 20h18
PARTIE UNE ICI https://www.startupane.com/hospitalite1/
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Dans la partie 3/4 nous parlerons des guerres et des envahissements par des armes ont parlera, par exemple d’Alexandre le Grand (356-323 av. J.-C.), disciple d’Aristote et modèle classique de l’homme d’Etat éclairé, pour qui « la stratégie de la guerre signifiait non pas la défaite de l’ennemi (…) mais, comme son père le lui avait enseigné, l’anéantissement de tous les combattants et la destruction de la culture même qui avait osé s’opposer à sa domination impériale. (…) Les carnages sur lesquels on est le mieux renseigné sont ceux de Tyr et de Gaza en Phénicie. (…) Après un siège de deux mois, Alexandre laissa ses troupes massacrer la population [de Gaza] à volonté. Tous les hommes furent exterminés. Près de 10 000 Perses et Arabes périrent. Les milliers de femmes et d’enfants capturés furent vendus en esclavage. Alexandre fit ligoter Baïtis, le gouverneur de Gaza, lui fit percer les chevilles pour y passer des lanières et le fit traîner autour de la cité, jusqu’à expiration de la victime suppliciée. »