Dans une de ses réunions, Hitler a demandé qu’on lui apporte un poulet.
Il l’a attrapé fort avec une des mains pendant qu’il la plumait avec l’autre.
La poule, désespérée de la douleur, a voulu fuir, mais elle n’a pas pu.
Ainsi, Hitler a pris toutes ses plumes en disant à ses collaborateurs :
“Maintenant, regardez ce qui va se passer”.
Hitler a lâché la poule sur le sol et s’est éloigné d’elle.
Il a pris une poignée de grains de blé, a commencé à marcher dans la pièce et à jeter les grains de blé au sol, tandis que ses collaborateurs voyaient, hantés, comme la poule, effrayée, douloureuse et saignant, courait après Hitler et essayait de saisir quelques miettes, en tournant dans la pièce.
La poule le suivait fidèlement partout.
Alors Hitler a regardé ses acolytes, qui étaient tout à fait surpris, et leur a dit :
” Ainsi, facilement, on gouverne les idiots.
Vous avez vu comment le poulet m’a suivi, malgré la douleur que je lui ai causée ?_
Je lui ai tout pris…, les plumes et la dignité, mais elle me suit quand même en quête de remoulages.”
” Ainsi c’est la plupart des gens, ils suivent leurs gouvernants et politiciens, malgré la douleur que ceux-ci leur causent et, même lui ôtant la santé, l’éducation et la dignité, par le simple geste de recevoir un avantage bon marché ou quelque chose à se nourrir par un ou deux jours, le peuple suit celui qui lui donne les miettes du jour.” Gerald Cotton.
Ernest TCHAKOUTE (Coach Ben)
Douala le 05/08/2020 — 06h10