1 – IMPÔTS

Il est plus facile de prélever des impôts sur des compagnies internationales ayant pignon sur rue, que sur des marchandises locales. Exemple en Côte d’Ivoire, les multinationales étrangères rapportent plus de 90 % de l’assiette fiscale, pour la bonne marche du pays, on favorisera les importations.

2 – OPPORTUNISME

Certains produits cultivés dans d’autres pays et importés sont plus moins chers sur le marché que le même produit cultivé localement. Exemple le riz produit en Thaïlande et vendus sur le marché camerounais est plus bas que celui produit localement, chaque ménagère cherche un produit à la hauteur de sa bourse.

3 – TRANSFERT DE TECHNOLOGIE

En Afrique 90% de la production agricole est manuel et le manque de synergie, l’individualisme est un frein entre producteurs. Chacun veut être le roi sur son espace de 2 hectares, il fait ou cultive ce qu’il veut de sa portion sans consulter les autres. Sur une ligne agricole de 100 hectares, on a 6 différentes cultures et les zones de démarcation entre ces cultures deviennent des pertes. Ailleurs, les gens se mettent ensemble pour lancer et mécaniser des plantations de 2000 hectares et augmentent leur zone de production chaque jour.

Chez-nous, la fameuse solidarité Africaine s’applique uniquement lorsqu’ils se rencontrent dans un bistrot, l’un donnera volontiers une bière ou plus à son voisin du champ pour montrer qu’il gagne plus d’argent dans sa plantation. Il n’y aura jamais de solidarité lorsqu’il faut mettre les forces ensemble pour dominer un marché.

4 – L’IMBROGLIO ÉCONOMIQUE

Le manque de sérieux dans la gestion des ressources, le budget de l’armée est supérieur au budget du ministère de l’Agriculture, on se demande si la prioritaire, c’est faire la guerre ou rendre sa population indépendante sur le plan alimentaire. Si vous êtes incapable d’apporter une autosuffisance alimentaire à votre peuple, vous ne saurez les défendre militairement. C’est dans ces pays, les ingénieurs agronomes paient des millions pour un concours d’État afin de travailler dans des bureaux qu’aux champs.

5 – LA POST PRODUCTION

De la production au panier de la ménagère, l’agriculteur perd 40% de sa récolte, ceci est causé entre autre par le mauvais état des routes, les tracasseries des autorités routières. Exemple, l’agent des forces de l’ordre qui voit un camion de tomate voit de l’argent et exige une rançon avant de laisser passer la marchandise.

6 – CONSERVATION

La mauvaise maitrise des techniques de conservations des produits. On transporte des tomates sur des camions destinés au transport du bétail, ou des lambris de bois, étant donné que la tomate est un produit hautement périssable, le conducteur est obligé de rouler en tombeau ouvert et en plus du mauvais état des routes les cagots subissent des pertes. Le transport dans un conteneur frigorifique est à la fois plus rentable et plus hygiénique.

7 – L’ESPRIT DE MENDICITÉ

Nous demandons la grâce pendant que les autres engrangent des bénéfices, le refus de se prendre en charge et attendre toujours tous des autres est un gros frein dans ce secteur, nos gouvernants attendent les subventions de l’EU, de la Chine ou du Japon pour développer le secteur pendant que les autres créaient des stratégies internes pour dominer le marché. Exemple en 1990 le Brésil importait le coton du Burkina Faso en 2001 il a exporté 100000 tonnes en 2012 sa production dépassait celle du Burkina Faso et du Mali réuni.

8 – L’INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE

Les consommateurs n’ont pas confiance aux produits locaux, par ce que nos dirigeants ne s’impliquent pas dans les campagnes marketing, Exemple, si le président camerounais qui est le leader s’habillait en tenu traditionnel camerounais (même s’il n’aime pas ici l’économie nationale et la vie des millions des personnes est en jeu), lors d’un discours la veille du 11 février pour s’adresser à la jeunesse les mentalités changeraient et la confiance des consommateurs augmentera.

La liste est bien longue, je donnerai d’autres pistes dans une autre tribune.

TCHAKOUTE Ernest (Coach Ben)

Douala le 3/11/2022 – 04h50

—- ——-

Je suis Négociant des matières premières. Le négoce étant le métier le plus lucratif au monde et vue ce côté hautement rentable il a été longtemps caché au grand public.

Suite à cela, je suis formateur international dans le négoce, nous formons (à travers notre entreprise www.startupane.com ) et créons un réseau privé de négociant à travers le monde ensemble nous partageons les meilleures opportunités professionnelles.

Si vous rêvez être un négociant fort et puissant, souhaitez pénétrer cette armée puissante et très fermé de négociants africain qui se met progressivement sur pied à travers le monde, contactez moi immédiatement avant qu’il ne soit trop tard.

Car nous organisons l’acte 2 du tourisme entrepreneurial de l’histoire aux Seychelle , cliquez immédiatement sur ce lien pour en savoir plus https://www.startupane.com/formations/negoce-international-et-tourisme-entrepreneurial-des-seychelles-2/

Alors si vous avez 3350 € ou 2200000 CFA vous pouvez payer maintenant et commencer à recevoir les cours directement dans votre email.

C’est toujours douloureux de démanteler des mythes

—————————————————

Voici quelques adresses utiles

Pour rejoindre mon canal telegram :

https://t.me/coach_ben

Pour me suivre sur linkedin :

https://www.linkedin.com/in/ben-aly/

Pour me suivre sur mon compte Facebook :

https://www.facebook.com/tchakouteernest

Pour me suivre ma page Facebook :

https://www.facebook.com/TheJungleCMR

Pour suivre notre page startupane : https://www.facebook.com/startupane237

NOS VITRINES

Le site de notre entreprise :

www.group-alliancegulf.com

Le site de notre département formation :

www.startupane.com

Le site de notre département market place :

www.comotron.com

Le site de notre département compléments alimentaires :

www.b2life.net