LES LEADERS VISIONNAIRES SONT TOUJOURS MAL COMPRIS PAR LEUR CONTEMPORAIN.

Texte : 3392mots – Temps de lecture : 16mn – Auteur : TCHAKOUTE Ernest – Singapour – le 20/11/2024 – 14H04 – type de texte : #geopolitique #guerre_entre_les_peuples

Le plus gros malheur d’un peuple, c’est de refuser de suivre les visionnaires de leur communauté et surtout donner une protection adéquate à ces derniers car leur développement, l’innovation et leur positionnement dans le monde passe par ces dernières. Cette protection consiste simplement à créer un environnement favorable, en protégeant leurs droits et en soutenant leurs initiatives, ces communautés voir leurs gouvernants peuvent non seulement favoriser le progrès social et économique, mais aussi garantir que les idées novatrices contribuent à un avenir meilleur pour tous.

Voici un texte basé sur la géostratégie qui démontre comment les leaders africains étaient souvent mal compris à leur époque, mais dont la vision a été reconnue plus tard par leurs peuples hélas, il était déjà trop tard pour remédier ou remettre les choses en place.

Au cours de l’histoire post-coloniale africaine, et ceci bien avant et bien plus longtemps dans le temps, de nombreux leaders visionnaires ont émergé avec des idées avant-gardistes pour le développement et l’unité du continent.

Pendant toutes ces périodes de l’histoire, leur projet géostratégique, et managérial se sont souvent heurtés à l’incompréhension, voir à la consternation, tant au niveau international bien souvent les plus virulents et fervents détracteurs étaient au sein même de leurs populations.

Nous avons le cas le plus emblématique de celui de Kwame Nkrumah, premier président du Ghana. Sa vision panafricaine et son projet des États-Unis d’Afrique étaient perçus comme une utopie par ses semblables et était considéré comme menaçants par les puissances occidentales.

Pas très loin de lui, certains de ses compatriotes africains considéraient ses ambitions continentales comme démesurées aussi pourquoi sa destitution et sa mise en exile était occasionné par une personne de son propre camp qui malheureusement ne le comprenait pas.

Ce n’est que des décennies plus tard que l’importance de son idée d’intégration rassemblement africain a été pleinement reconnue, comme en témoigne la création de l’Union Africaine en 2002.

De même, Thomas Sankara au Burkina Faso a mis en place des politiques d’autosuffisance et de développement endogène qui ont d’abord déconcerté. Par la suite, il lancera son projet de lutte anti-impérialiste, dans ses discours, il dénoncera le colonialisme et le néo-colonialisme, dont celui de la France, en Afrique (notamment les régimes clients de Côte d’Ivoire et du Mali, lequel lancera plusieurs fois des actions militaires contre le Burkina Faso, soutenues par la France). Son rejet de l’aide étrangère et ses réformes sociales radicales vont susciter des oppositions. Pourtant, après son assassinat, de nombreux Burkinabés vont réaliser la pertinence de sa vision pour l’indépendance économique du pays.

Nous avons le cas en Tanzanie de Julius Nyerere qui va promouvoir l’ujamaa, une forme de socialisme africain basé sur les valeurs traditionnelles. Si cette politique a connu des échecs économiques, son importance, pour forger une identité nationale tanzanienne n’a été pleinement appréciée que plus tard.

Le cas de Patrice Lumumba en République démocratique du Congo reste un cas emblématique ou a son époque, il a également été incompris de son vivant. Sa volonté d’indépendance totale face aux anciennes puissances coloniales a conduit à son assassinat.

Il dira « Certains peuples méritent-ils la barbarie, les massacres, les crimes contre l’humanité, la négation humaine alors que d’autres ne les méritent pas ? Cette question résume la colère et l’incompréhension de Patrice Lumumba face à la violence coloniale. »

Il résumait d’ailleurs cette incompréhension et l’origine de ses idéaux d’indépendance dans la dernière interview qu’il a accordée avant sa mort à un journaliste français, Roger Louis, alors qu’il était en résidence surveillée : « Je n’ai jamais compris dans ma vie pourquoi à l’école, on nous enseignait qu’il faut être bon, avoir la charité chrétienne, l’amitié entre les Hommes, comment on peut concilier l’instruction que l’Européen nous donnait à l’école, les principes de civilisation et de morale avec les actes que ces Européens commettaient vis-à-vis des populations noires…»

Patrice Lumumba pointe ici une des tares que le capitalisme et le colonialisme ont plantées durablement dans notre société : l’hypocrisie en matière de droits humains. Une hypocrisie qui persiste encore aujourd’hui dans les sociétés européennes et qu’Aimé Césaire, dans son discours sur le colonialisme, a résumée en une seule expression : le relativisme moral. Lorsque vous voyez les valeurs que prônait Lumumba, ses contemporains ne comprenaient pas sa vision, nous savons tous le sort qui lui a été réservé. Ce n’est que des décennies plus tard, qu’il est devenu un symbole de la lutte pour la souveraineté africaine.

En dépit de tout ceci, il a existé de nombreux mouvements promouvant la solidarité entre Africains voir la libération du peuple africain. Ce que beaucoup ignorent, c’est que le panafricanisme ne se laisse pas facilement circonscrire. Il ne se réduit pas à un espace géographique – au risque d’ignorer les Africains de la diaspora. Selon la définition qu’on lui donne, cette idéologie n’a ni la même date ni le même lieu de naissance. Comme l’écrit Amzat Boukari-Yabara dès l’introduction de son ouvrage, cette « énigme historique » est tout à la fois « un concept philosophique », « un mouvement sociopolitique » et « une doctrine de l’unité politique ».

Dans la même dynamique, « les théoriciens du pan-négrisme, tels Edward Blyden ou William Edward Burghardt Du Bois, encouragent une prise de conscience progressive de la « race nègre ». Ce mouvement n’est pas né en Afrique, mais dans la diaspora américaine ou caribéenne. Il connaît sa première manifestation avec l’organisation de la Conférence panafricaine de Londres, en 1900. Il se prolongera au XXe siècle avec la Renaissance noire à Harlem (années 1920) et le mouvement de la négritude (années 1930). » Amzat Boukari-Yabara continue en disant « Progressivement, cette prise de conscience philosophique se mue en projet géopolitique : « Back to Africa ! » devient le cri de ralliement des émigrationnistes qui, dénonçant les faux espoirs d’une intégration des Noirs au sein de la nation américaine, ne voient d’autre salut que leur retour vers la terre maternelle. Marcus Garvey, surnommé le « Moïse noir », est le défenseur le plus virulent de ce panafricanisme dans l’entre-deux-guerres ».

L’idée de retour en Afrique cède alors le pas à la revendication de la souveraineté (« Africa for the Africans »). Tandis qu’il semble atteindre son apogée – avec l’exposition coloniale de 1930 en France par exemple –, le colonialisme vacille déjà sur ses bases. Les quatorze points de Woodrow Wilson ou la Charte de l’Atlantique annoncent une décolonisation inéluctable. En outre, le mouvement n’est plus exclusivement promu par des Africains de la diaspora, comme le montre la liste des participants au congrès panafricain de Manchester, en 1945. Aux côtés de W.E.B. Du Bois et de George Padmore, émergent les figures de Kwame Nkrumah et de Jomo Kenyatta. Les Africains se libèrent de leurs chaînes et accèdent en quelques années à l’indépendance. Ayant ouvert la voie dès 1957, le Ghana indépendant aspire à devenir, selon les mots de K. Nkrumah, le « tremplin de l’indépendance et de l’unité africaines ».

Et comme on le disait pendant que les visionnaires luttaient pour la libération du peuple noir, certains ne comprenaient pas pourquoi ils se donnaient autant de peine pour lutter et préféraient se contenter de leur vie approximative.

On comprend que ces quelques leaders partageaient malgré leur diversité et distance géographiques une vision géostratégique commune : celle d’une Afrique unie, économiquement indépendante et politiquement souveraine.

Leurs idées, souvent en avance sur leur temps, se heurtaient aux intérêts des puissances étrangères et aux réalités locales.

Ce n’est qu’avec le recul historique que leurs peuples ont pu apprécier la portée de leurs projets.

Cependant, cette situation étrange sur la géostratégie et les leaders incompris n’est pas l’apanage des seuls peuples africains. Au fil des siècles, de nombreux dirigeants visionnaires ont pris des décisions géostratégiques cruciales qui n’ont pas été comprises et appréciées que bien plus tard par leurs peuples.

Ici, nous prendrons l’exemple de Charles de Gaulle. Avec sa vision d’une France indépendante et influente sur la scène internationale, notamment à travers le développement de l’arme nucléaire et le retrait de l’OTAN, ces mesures ont été très critiquées à l’époque.

Ce n’est que des années plus tard que la pertinence de sa stratégie pour préserver la souveraineté française a été largement reconnue

De même, la décision d’Anwar el-Sadate de faire la paix avec Israël en 1978 a été très impopulaire dans le monde arabe à l’époque. Pourtant, avec le recul, cette initiative audacieuse a permis à l’Égypte de sortir de l’isolement et de se repositionner comme acteur régional majeur.

Plus récemment, la stratégie de Lee Kuan Yew le premier ministre Singapourien qui pour faire de son pays une puissance économique va miser sur l’éducation et l’ouverture aux investissements étrangers va d’abord susciter le scepticisme et les oppositions. Sauf que les résultats spectaculaires obtenus ont finalement validé sa vision à long terme

Ces exemples illustrent comment certains leaders, en avance sur leur temps, ont su anticiper les évolutions géopolitiques et positionner stratégiquement leur pays, malgré l’incompréhension initiale de leurs concitoyens. C’est souvent le recul historique qui permet d’apprécier pleinement la clairvoyance de ces décisions audacieuses.

NOS RESSOURCES ET LE NEGOCE

Il n’est plus à démontrer que l’Afrique, est une scandale de ressources naturelles, se trouvant à un carrefour géostratégique où l’engagement dans le négoce des matières premières pourrait transformer son avenir économique.

Historiquement, le continent a été exploité pour ses richesses, mais il est désormais essentiel que les Africains prennent les rênes de leur destin économique en s’intéressant activement à ce secteur.

Le négoce des matières premières représente une opportunité unique pour les pays africains de sortir de la pauvreté et de l’instabilité économique.

Nous vivons une triste réalité ou actuellement, plus de 80 % des exportations de nombreux pays africains dépendent des matières premières telles que le pétrole, les minéraux et les produits agricoles. En contrôlant ces ressources et en développant des infrastructures de négoce efficaces, l’Afrique peut non seulement augmenter ses revenus, mais aussi améliorer sa position sur la scène mondiale.

Sauf que c’est avec tristesse qu’on voit que la majorité de nos pays n’ont pas compris le rôle du négociant de matières premières.

S’ils avaient compris ils devaient renforcer le pouvoir des négociants développant le secteur.

En valorisant le négoce, les pays africains peuvent mieux valoriser leurs ressources, réduire leur dépendance vis-à-vis des négociants étrangers et renforcer leur autonomie économique.

En s’engageant à renforcer le négoce des matières premières, ça offre également la possibilité de diversifier les économies africaines. En développant des chaînes de valeur régionales et en investissant dans l’industrialisation, les pays peuvent transformer leurs matières premières en produits finis à plus forte valeur ajoutée. Cela non seulement crée des emplois locaux mais permet aussi d’atténuer les effets des fluctuations des prix sur le marché international.

Lorsqu’on dit ceci on est triste de voir comment nos contemporains ne nous comprennent pas, tellement nous allons vite. Comme chez nos prédécesseurs nous prêchons dans le désert.

Pour illustrer nos propos nous prendrons l’exemple de notre tourismes entrepreneurial qui porte sur la formation du négoce que nous avons organisé ici A Singapour du 15 au 20 novembre 2024 un événement extraordinaire qui fait venir des personnes africaines à travers le monde pour nous suivre.

Cette rencontre est bénéfique à tous les niveaux pour les participants mais hélas est ce qu’ils ont la capacité cognitive de le comprendre et comprendre la vision du promoteur ? Je doute fort.

je vous donne ici quelques avantages que bénéficient les participants

  • – les participants bénéficient de la formation sur le négoce de matières premières et des astuces les plus secrets du métier.
  • – Sa travail son Développement personnel, en améliorant son autonomie, en renforçant la confiance en soi, et sa capacité d’adaptation à de nouveaux environnements
  • – améliore son ouverture culturelle et sa compréhension de différentes façons de penser des autres peuples, ensuite développe la tolérance et de l’empathie
  • – Le tourisme : les participants profitent de la rencontre pour découvrir d’autres pays, et voir le monde autrement et profiter pour se faire de nouveaux amis loin de leur zone de confort.
  • – La participation à la foire des hydrocarbures OSEA 2024 une occasion inimaginable de rencontrer les acteurs du métier des hydrocarbure.
  • – La rencontre donne l’occasion aux participants de bénéficier de mon carnet d’adresse.

7    – La rencontre à la formation de cette fois à permis aux uns et aux autres de rencontrer certaines de nos entreprises partenaires avec lesquelles nous travaillons dans le cadre de la création des comptes et sociétés offshores, il n y a rien de mieux que de venir dans un pays et entrer directement en contact avec des entreprises fiables qui sont sur le terrain une personne qui déciderait de venir seul fera plus d’effort pour rencontrer des entreprises fiables dans le domaine.

8    – La rencontre à Singapour permet d’améliorer son réseau professionnel international, elle permet de rencontrer des personnes qui viennent de différentes régions du monde apprendre la même chose que toi.

9    – Nous savons toutes les difficultés que nous avons dans nos pays pour s’approvisionner en hydrocarbures une rencontre à la foire OSEA donne la chance et l’opportunité de rencontrer les meilleurs dans le secteur, aller à la rencontre de l’entreprise le plus côté au monde ARAMCO ne doit pas se manquer.

10  – De nombreuses entreprises au monde se croisent à la foire OSEA pour exposer leur savoir-faire technologique, et profitent de l’événement pour tisser des relations commerciales avec les autres.

On est droit de se demander où sont nos dirigeants pourquoi ne viennent-ils pas montrer leur savoir-faire aux yeux du monde ? La réponse est claire, nous n’avons rien à proposer au reste du monde en plus de cela le reste du monde ne veut même plus de nous à la table, car à de nombreuses occasions nous avons montré nos limites dans notre capacité a faire bloc pour conquérir des marchés.

Dans de nombreux pays du continent, les gens ont troqué l’intelligence avec le fanatisme, les ministres et ces dirigeants sont des tonneaux vides qui font des déclarations mensongères, humiliante et dénués de tout bon sens.

Nous sommes à une foire des hydrocarbures, il a fallu que nous alignions notre événement (tourisme entrepreneurial) à la foire OSEA pour côtoyer les grands du secteur. On se demande comment tout un continent ne peut pas se mettre ensemble pour avoir un seul stand. Comment pouvons-nous organiser pour disparaître de la face du monde ?

Pendant que tout le monde regarde vers l’Afrique soi-disant que c’est le continent de l’avenir les Africains se cachent et concentrent leur force pour nuire et affaiblir les leur qui essaient de sortir la tête de l’eau.

Il a fallu que grâce à ma vision et surtout comprenant nos problèmes sur le continent que je rame à contre-courant.

Pendant que nos dirigeants par manque de visions et pour masquer leurs échecs encouragent nos jeunes à faire de la moto-taxi ou encouragent les entrepreneurs à faire la pisciculture ou l’agriculture de subsistance les plus insensé encouragent les entrepreneurs à aller en Chine tout importer jusqu’aux emballages ce qui est une preuve de l’échec sur tous les plans.

Dans une dynamique ou un peuple, est faible, on doit encourager la jeunesse à se lancer dans des domaines hautement stratégiques et rentables.

C’est pourquoi ayant compris cela lors de notre semaine ici à Singapour, nous invitons une personne qui nous facilitera la création d’une société et d’un compte bancaire à Singapour.

Cette stratégie a plusieurs influences que beaucoup sans visions ne comprendront pas, je vous explique.

Créer une entreprise à Singapour à des avantages infinis Singapour offre :

–     Un environnement favorable aux affaires, car elle offre un cadre propice aux entreprises, avec une économie solide et des politiques axées sur la croissance.

–     L’emplacement est stratégique, car elle est située au cœur de l’Asie du Sud-Est, ce qui donne un accès facile aux marchés asiatiques en pleine croissance.

–     Système juridique solide tout le monde le dira le cadre juridique de Singapour est réputé pour sa transparence et son efficacité, protégeant notamment les droits de propriété intellectuelle.

–     Son régime fiscal est extrêmement avantageux, il propose l’un des taux d’imposition sur les sociétés les plus bas au monde et a de nombreux accords de double imposition. C’est pourquoi vous verrez toutes les plus grosses entreprises au monde ont leur direction générale ici quoi de mieux que d’re au milieu des grands !

–     Infrastructure de classe mondiale avec une excellente connectivité, ports et aéroports parmi les meilleurs au monde.

–     Accès à des financements, beaucoup ignorent qu’il existe des partenariats comme celui entre Enterprise Singapore et Afreximbank facilitent l’accès au financement pour les entreprises opérant entre Singapour et l’Afrique.

–     Opportunités de networking en plus de toutes les opportunités de faire du réseautage Singapour nous donne un accès direct à des plateformes comme l’Africa Trade Gateway d’Afreximbank pour se connecter avec des partenaires et investisseurs en Afrique.

–     Une stabilité politique l’environnement politique est stable, propice aux investissements à long terme.

–     Processus simplifiés, il faut savoir que les procédures d’enregistrement des entreprises simplifiées et disponible.

Ces avantages permettent aux entrepreneurs africains d’utiliser Singapour comme une base stratégique pour développer leurs activités en Asie tout en gardant des liens forts avec l’Afrique.

–     Vous avez une société qui vous permet de négocier vos marchés à travers le monde en se servant de la notoriété du pays (Singapour)

–     Vous avez la possibilité de recevoir n’importe quel montant dans le compte bancaire de votre entreprise de Singapour et rapatrier l’argent progressivement dans votre pays de choix.

–     Votre entreprise de Singapour a la possibilité de lever des fonds ici dans le but de financer votre entreprise située dans n’importe quelle région du monde.

Ceci n’est qu’une partie de ce que nous ouvre comme porte Singapour, comme je disais plus haut il faut avoir de la vision sur le très long terme pour faire le contraire de ce que tout le monde pratique vous demanderez à un Africain aujourd’hui entre la Chine à Singapour il préférera la chine pourtant c’est Singapour qui a formé les fonctionnaires chinois afin qu’ils deviennent ce qu’ils sont aujourd’hui.

Suite à cela, les gens médiocres font de leur mieux pour éteindre ou mettre les bâtons dans les roues des visionnaires car :

–     La peur du changement : les visionnaires proposent généralement des changements importants, ce qui peut effrayer ceux qui sont attachés au statu quo ou qui craignent l’inconnu.

–     L’incompréhension : les visions à long terme peuvent être difficiles à comprendre pour ceux qui sont habitués à penser à court terme. Le manque de compréhension peut mener à la résistance.

–     Les intérêts personnels menacés : Certaines personnes peuvent percevoir les changements proposés par des visionnaires comme une menace pour leur position, leur pouvoir ou leurs intérêts personnels.

–     Les difficultés à voir les bénéfices à long terme : beaucoup de gens ont du mal à se projeter dans l’avenir et à voir les avantages potentiels d’une vision à long terme, préférant des résultats immédiats.

–     L’inertie organisationnelle : les structures et les habitudes existantes peuvent créer une résistance naturelle au changement.

–     Le manque de confiance : les personnes sans vision ne font pas confiance au visionnaire ou à ses capacités, ce qui les rend moins enclines à soutenir ses idées du visionnaire, car il faut le dire, ils savent consciemment que si le visionnaire n’est plus présent, ils ne sauront plus quoi faire, c’est pourquoi ils préfèrent le statu quo.

–     Peur de l’échec : la mise en œuvre d’une vision à long terme comporte des risques, et certains peuvent préférer éviter ces risques.

–     Jalousie ou envie : dans la majorité des cas, les non-visionnaires ressentent de la jalousie envers le visionnaire et cherchent à saboter ses efforts.

À la lecture de ceci vous comprennent qu’il est incompréhensible que nous soyons dans la situation ou chacun connaît et au lieu de faire des efforts pour les ressourdre nous pratiquons la politique de l’autruche, a tous ceux qui lirons avec ou sans les autres je ferais ce que je me dois de faire afin de promouvoir le négoce de matières premières dans notre communauté tout en promouvant la rencontre avec les acteurs du terrain.

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